Mon orthographe illustrée : mémoriser l’orthographe grâce aux images mentales et au lien sens/ graphie

 

Présentation de l’éditeur

Une des grandes difficultés de la langue française réside dans le fait que la relation qui unit la forme orthographique d’un mot à son sens est le plus souvent arbitraire.

Pour remédier à cette difficulté, la méthode visuo-sémantique, qui est préconisée dans cet ouvrage, conduit à créer un lien logique entre le sens du mot et ses particularités orthographiques. On va ainsi utiliser des dessins qui illustrent un des sens du mot en soulignant, de façon humoristique, ses particularités orthographiques.

Pour aider à mémoriser l’orthographe d’un mot réputé difficile, il suffira dès lors d’évoquer le sens de ce mot et le dessin qui lui correspond. Grâce à l’imagerie mentale, l’orthographe devient un jeu d’enfant !

Les auteurs : Sylviane Valdois est orthophoniste et neuropsychologue. Marie-Pierre de Partz est professeure spécialisée en neuropsychologie clinique du langage. Xavier Seron est professeur émérite spécialisé en neuropsychologie cognitive. Michel Hulin est concepteur des dessins. Emilie Ruiz est illustratrice.

 

Les points forts

Je me sers souvent de l’orthographe illustrée avec les élèves que j’accompagne ou avec ma fille comme aide mnémotechnique. Par exemple, nous avons travaillé les homonymes vert/ verre/ vers en passant par des dessins en rapport avec leur sens. Nous avons dessiné un arbre avec le “t” muet de “vert” pour penser à la couleur des feuilles vertes, on a dessiné deux verres retournés remplis (l’un d’eau, l’autre de soda gazeux) pour les deux “r” de verre et une flèche à partir du “s” de vers pour penser à la direction. C’est vraiment une technique efficace pour la mémorisation à long terme.

Dans l’ouvrage Mon orthographe illustrée, les auteurs rappellent le principe du dessin pour mémoriser l’orthographe : créer un lien visuo-sémantique à la place d’une relation arbitraire (relier mentalement le sens du mot à son orthographe).

Cet ouvrage peut être utilisé de plusieurs manières :

• pour les plus grands (qui connaissent déjà le sens des mots) : les planches de dessin se suffisent à elles-mêmes. Ils peuvent s’amuser à retrouver le lien entre le dessin et le sens du mot, identifier la ou les lettre mises en valeur par les dessins (correspondant à la difficulté orthographique) ou bien décrire les planches sans les avoir sous les yeux, puis les redessiner pour s’assurer de la mémorisation;
• pour les plus petits (à partir de 7 ans) :  il faut d’abord s’assurer que l’enfant connaît le sens du mot afin de pouvoir ensuite discuter l’illustration et faire le même travail qu’avec les grands.

Dans le cadre d’une dictée à préparer, les planches peuvent servir de support et il peut être utile de revenir plusieurs fois sur une même planche à quelques jours d’intervalle.

Les plus par-rapport à d’autres ouvrages du même type :

• son petit format de poche (facile à transporter et à feuilleter)
• le grand nombre de mots illustrés (148)
• les mots choisis sont des mots courants, à la fois variables et invariables
• les difficultés les plus fréquentes sont présentées, donnant des idées pour des créations propres avec d’autres mots fréquents présentant les mêmes difficultés (redoublement de consonnes, lettre muette, association contextuelle qui change le son d’une lettre…)
• les mots sont classés par ordre alphabétique et un index en fin d’ouvrage permet de les retrouver (avec l’indication des difficultés orthographiques).

……………………………………………………………………………………………

Mon orthographe illustrée de Sylviane Valdois (éditions Larousse) est disponible en médiathèque, en librairie ou sur internet.

Commander Mon orthographe illustrée  sur Amazon , sur Decitre, sur Cultura ou sur la Fnac

Cette chronique fait suite à un envoi en service presse.