5 histoires pour mémoriser l’orthographe des mots difficiles

5 histoires pour mémoriser l’orthographe des mots difficiles

Quand les enfants font appel à leur imagination pour mémoriser l’orthographe des mots, ils augmentent les chances de les mémoriser. Il est possible d’inciter les enfants à créer leurs propres histoires pour mémoriser efficacement l’orthographe de certains mots difficiles.

Plus les histoires sont en rapport avec les éléments de signification du mot, plus elles sont drôles et personnelles, plus elles seront efficaces.

Une fois les histoires inventées, les enfants pourront les dessiner afin d’ancrer le souvenir à long terme. La combinaison de l’évocation orale (histoire racontée) et visuelle (dessin) soutient la mémorisation à long terme de l’orthographe des mots difficiles.

1.L’oeuf prend un O parce qu’il cuit dans l’eau.

 

2. Mets un D + un D pour pouvoir faire une addition.

 

3.Il faut deux P car il faut deux pieds pour s’échapper.

 

4.Je suis tout seul à être moi donc moi ne prend pas de S. Il y a 12 mois dans l’année donc un mois de l’année prend un S. 

 

5.Tous les oiseaux ont deux pattes alors il faut mettre deux T à leurs pattes. 

histoires orthographe mots difficiles

 

Selon les préférences de l’enfant, le recours à l’étymologie des mots et aux lettres muettes permet de compléter un travail d’orthographe contée. Ainsi, on peut dire à l’enfant que porc se termine par un c parce qu’un porc est un cochon (et l’illustrer en remplaçant le groin du cochon par un grand C) mais aussi parce que porc est de la même famille que porcelet dans lequel on entend le C.

Le grand avantage de cette stratégie est qu’elle est inépuisable : ces 5 histoires ne sont que des exemples qui servent d’inspiration pour appliquer le même principe aux mots difficiles à orthographier. Elle est par ailleurs accessible aux enfants dès 6 ans et continue à plaire aux plus grands.