Carte mentale des propositions subordonnées en français (collège)

Une carte mentale des propositions subordonnées aide à comprendre ce type de propositions, introduites par différentes conjonctions, pronoms relatifs, ou locutions conjonctives.

Les propositions subordonnées en français

Une proposition subordonnée dépend toujours d’une proposition principale. Elle ne peut pas exister seule et perd son sens si elle est isolée. Le mode du verbe dans la subordonnée peut varier (indicatif, subjonctif, conditionnel) selon le contexte et le type de subordonnée. La maîtrise des propositions subordonnées permet de construire des phrases plus complexes et nuancées, enrichissant ainsi l’expression écrite et orale.

Un aperçu des différents types de propositions subordonnées 

Vous trouverez un récapitulatif des différentes propositions dans la carte mentale des propositions subordonnées ci-dessous. 

Proposition subordonnée relative

Elle est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel…) et complète un nom ou un pronom de la proposition principale.

Exemple : Le livre que tu m’as prêté est passionnant.

Ici, “que tu m’as prêté” est la subordonnée relative qui complète le nom “livre”.

Proposition subordonnée conjonctive

Elle est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, si, parce que, lorsque, comme…) et peut remplir diverses fonctions (complément d’objet, attribut du sujet).

Exemple : Je pense qu’il viendra.

Ici, “qu’il viendra” est la subordonnée conjonctive qui complète le verbe “pense”.

Proposition subordonnée interrogative indirecte

Elle rapporte une question indirectement et est introduite par des mots interrogatifs (si, qui, que, quoi, où, quand, comment, pourquoi).

Exemple : Je me demande si tu viens.

Ici, “si tu viens” est la subordonnée interrogative indirecte.

Proposition subordonnée circonstancielle

Elle exprime une circonstance de l’action de la proposition principale (temps, cause, conséquence, but, condition, concession…) et est introduite par une conjonction ou une locution conjonctive.

Exemple : Quand il fera beau, nous irons à la plage.

Ici, “Quand il fera beau” est la subordonnée circonstancielle de temps.

Proposition subordonnée participiale

Elle est formée d’un participe présent ou passé et de ses compléments, et exprime une action simultanée ou antérieure à celle de la principale.

Exemple : Ayant terminé ses devoirs, il est allé jouer.

Ici, “Ayant terminé ses devoirs” est la subordonnée participiale. 

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Je vous propose une carte qui expose les différentes propositions subordonnées en grammaire française. Cette carte mentale peut être utile aux collégiens, notamment en troisième pour réviser le Brevet des Collèges.